Les 3 grands axes de Recherche à l’Icam
1 – Production, stockage et gestion de l’énergie
Les projets de Recherche liés à cet axe s’articulent autour des 5 thématiques :
- Convertisseurs de forte puissance multiniveaux
- Management thermique des systèmes électroniques
- Micro Grid
- Caractérisation des résidus et développement de leurs procédés de valorisation énergétique
- Efficacité thermique des process industriels
On y retrouve des travaux sur les usages de l’hydrogène, la production d’énergie offshore, des systèmes de contrôle hybrides, etc.
Ces recherches s’attachent à imaginer des solutions performantes autour d’énergies durables et propres, pour la production industrielle, les transports, l’habitat ou encore la distribution d’énergie.
2 – Structures et matériaux innovants
Les projets de Recherche liés à cet axe s’articulent autour de 4 thématiques :
- Eco-Matériaux et recyclage
- Structures et couplages
- Fabrication additive
- Mesures et contrôles
Les chercheurs s’appliquent ici à concevoir des matériaux aux propriétés innovantes : résistance aux chocs, solidité, élasticité… Avec, toujours, l’intérêt humain et écologique en ligne de mire.
La dimension “low-tech” est aussi une piste privilégiée avec, par exemple, la mise au point de matériaux composites à base de fibres naturelles renouvelables, afin de croiser écologie et propriétés techniques remarquables, ouvrant à de nouvelles déclinaisons dans l’industrie.
3 – La transition sociétale et technologique des entreprises
Les projets de Recherche liés à cet axe s’articulent autour de deux thématiques :
- Industrie 4.0
- Industrie durable 4.0
- Logistique 4.0
- Ingénierie des objets connectés
- Internet des objets et gestion automatisé des énergies
- Agriculture 4.0
- Interaction Humain / Robot
- Ethique, technologie et gouvernance
- Ethique et Gouvernance des Technologies
- Transitions sociale et environnementale
- Management du travail et cohésion d’équipe
Les projets visent non seulement à imaginer des solutions innovantes pour la production industrielle de demain, mais aussi à apporter des éléments riches et constructifs sur la place de l’homme dans cette industrie 4.0.