Arthur Bolzan : un semestre Erasmus I4.8 en Espagne

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21 Fév 2023

En 4e année du parcours intégré, il est possible de réaliser son semestre professionnalisant I4.8 à l’étranger. C’est le cas d’Arthur, qui vient de partir à Valence dans une université partenaire (ETSII) et approfondir ainsi ses connaissances dans les énergies renouvelables.

Pourquoi as-tu candidaté à l’étranger ?

Initialement, je souhaitais réaliser un semestre Erasmus en deuxième année (I2) aux Etats-Unis, mais cela a été annulé à cause du covid.

Après avoir réalisé un stage dans le domaine des panneaux solaires photovoltaïques dans une TPE et réalisé une enquête métier dans le secteur des énergies renouvelables, je me suis pris de passion pour celui-ci.

Au cours du second semestre de la 4e année du Parcours intégré, nous sommes amenés à choisir une thématique majeure. Elle permet d’approfondir notre projet professionnel. Il est possible de bénéficier d’une mobilité géographique pour suivre une option proposée sur un autre campus ou à l’étranger : c’est mon cas ! 

Au vu de mon projet, j’avais la possibilité de postuler sur le campus Icam de Nantes ou dans des universités espagnoles, qui proposent cette spécialisation. J’ai donc postulé à deux universités, une à Barcelone et l’autre à Valence. J’ai eu la chance d’être sélectionné à Valence à l’ETSII (Escuela Técnica Superior de Ingenieros Industriales).

 

Comment se sont passées les sélections ? 

En troisième année, on peut commencer à formuler nos vœux en interne pour le semestre I4.8. Il y a alors deux tours de sélection. 

• Pour le premier, il faut avoir un niveau B2 certifié, avoir validé tous nos modules. L’Icam donne aussi la priorité aux étudiants qui ne sont pas encore partis à l’étranger durant leur cursus. Mais le plus important est bien sûr l’adéquation entre son projet professionnel et les cours proposés par l’université choisie.
• Pour le second tour, les étudiants peuvent se positionner sur les places restantes.

 

Un conseil pour ceux qui souhaitent postuler comme toi à l’étranger ? 

Il faut bien construire son projet et surtout, y mettre du sens !

Dans tous les cas, nous sommes bien accompagnés par le Bureau International afin de nous aider à remplir les documents administratifs ; et lorsqu’on part à l’étranger, nous sommes rattachés à un référent Icam par université.

On se retrouve aussi avec des étudiants Icam d’autres sites que le nôtre : c’est super de faire de nouvelles rencontres, et on se rend compte qu’on a tous la même expérience et les valeurs Icam. C’est vraiment génial !

 

Qu’attends-tu de cette expérience ?

J’ai envie de confirmer et d’approfondir mon intérêt pour le domaine des énergies, mais surtout de me spécialiser dans ce domaine. Par ailleurs, je vais également poursuivre, à l’issue de ce semestre en Espagne, en Mémoire Scientifique de Recherche à Newcastle – Northumbria en Angleterre. J’ai également envie de progresser en langues : mon objectif est de parler couramment à la fois l’anglais et l’espagnol !