Découvrez Kokou et Omaima, doctorants à l’Icam site de Grand Paris Sud
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22 Mai 2023
Kokou et Omaima ont rejoint l’équipe recherche de l’Icam site de Grand Paris Sud depuis la rentrée 2022. L’un est spécialisé dans la robotique, l’autre est spécialisée dans les réseaux électriques intelligents.
Découvrez-en plus sur eux et leurs sujets de thèse passionnants :
Omaima SMOUNI
Doctorante en première année en réseaux électriques intelligents
Que faisais-tu avant de nous rejoindre ?
J’ai fait un master de recherche en électronique et systèmes embarqués à l’université de Claude Bernard Lyon 1 (UCBL1) et l’école centrale de Lyon (ECL). Puis, j’ai mené un stage PFE de 6 mois au laboratoire MIS ( modélisation, information et systèmes) à Amiens, sur le sujet du “Développement d’une stratégie de gestion énergétique pour alimenter un véhicule électrique”.
Après, ce stage j’ai eu l’opportunité de continuer avec le même laboratoire en partenariat avec l’Icam pour une thèse de doctorat.
Peux-tu nous décrire ton poste actuellement à l’Icam ?
Mon poste à l’Icam durant ma première année de thèse concerne en grande partie la recherche liée à mon sujet de thèse intitulé « Développement d’une stratégie de chargement optimale du Véhicule Électrique dans un microréseau ».
Côté enseignement, j’ai encadré quelques séances de TPs durant le deuxième semestre.
Pourquoi avoir rejoint l’Icam ?
J’ai rejoint l’Icam pour pouvoir relier la théorie à la pratique. De plus, je trouve qu’il y a une bonne ambiance de travail ici !
Quelles sont tes passions ?
Mes passions sont le fitness et la lecture.
Kokou LISSASSI
Doctorant en première année dans la robotique.
Que faisais-tu avant de nous rejoindre ?
J’ai passé mon bac au Togo puis réalisé trois années de licence au Maroc, complété par un Master en Smart Aerospace and Autonomous Systems à l’Université d’Evry. L’année dernière, j’ai fait un stage de 6 mois à l’Icam en recherche sur le sujet de la plateforme de recherche LIFE, Logistique et Industrie du Futur Écologique. J’ai notamment travaillé sur le sujet de l’interaction homme-robot dans l’industrie 4.0.
A la fin de ce stage, j’ai eu l’opportunité de commencer une thèse de trois ans ici.
Peux-tu nous décrire ton poste actuellement à l’Icam ?
Sur ma casquette d’enseignant, je donne des cours sur la gestion de projets et les projets mécatronique (I3 et A4).
En ce qui concerne la recherche, au quotidien, je lis beaucoup d’articles pour en faire des synthèses et réfléchis à comment développer ou implémenter des idées autour de l’industrie 4.0.
Mon sujet de thèse porte sur l’optimisation de la collaboration homme-robot dans l’industrie 4.0. Concrètement, je dois identifier les réseaux de neurones, la vision assistée par ordinateur et j’apprends à utiliser l’Intelligence Artificielle. Mon objectif final est de proposer un dispositif fonctionnel qui peut être implémenté dans les entreprises dans la logistique.
Par exemple, lors de mon stage, j’ai créé un outil qui permet de lutter contre les mouvements inutiles des opérateurs. Par exemple, lorsqu’un opérateur se lève de son poste pour récupérer de la matière première, cela est un mouvement inutile et qui lui fait perdre du temps. J’ai donc mis en place des petits robots qui font cette tâche à sa place en lui faisant un signe avec la main. Exemple en vidéo !
Pourquoi avoir rejoint l’Icam ?
J’aime le fait de pouvoir apprendre et pratiquer de A à Z.
Quelles sont tes passions ?
Je suis en train de me former en guitare basse et inline skate (roller en ligne).
